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L’ancienne abbaye de Lavaudieu comporte une importante partie privée classée  » Monuments Historiques  » acquise par une famille présente depuis au moins le XVIéme siècle à Lavaudieu et ayant joué un rôle important au sein de la communauté religieuse.
– le logis abbatial
– une partie du cloître
– les jardins suspendus attenants suspendus au-dessus de la Senouire
Aujourd’hui Béatrice et son mari Joël ont repris le bien familial qu’ils entretiennent, restaurent et mettent en valeur.
Le logis abbatial est riche de ses boiseries, plafonds à la française et de ses planchers marquetés.
La partie privée du cloître permet de découvrir, l’ensemble depuis la galerie du 1er étage.
Les jardins suspendus offrent une perspective intéressante de l’ensemble de l’abbaye.

Côté face, c’est un antique logis fortifié du XVe siècle, avec douves, tours à mâchicoulis, échauguettes, et ancien pont-levis. Côté pile, c’est une majestueuse demeure en brique et pierre, accumulant les références néogothiques, dans un style troubadour à la fois pittoresque et élégant.

Dans l’écrin de son immense parc de 100 hectares clos de 5 km de grilles et dessiné par Achille Duchêne, Avrilly n’en finit pas de raconter les rêves de ses bâtisseurs…

Château du XVI s., présentant un corps de logis rectangulaire flanqué de deux tours. Il est accompagné d’un bâtiment de communs comportant également deux tours d’angle .
La tour nord du bâtiment principal est doté d’une meurtrière tournante dont il ne subsiste peu d’exemples en France.
Un jardin à la française fait face au château.

Authentique lieu d’histoire et de gastronomie, le Français est le rendez-vous incontournable de la vie burgienne. Un lieu où se croisent bressans d’origine, anonymes et personnalités publiques de passage.

Du premier café du matin, au déjeuner d’affaire ou diner familial, la brasserie vous accueille dans une ambiance conviviale aux accents art déco, offrant une salle ornée de grands miroirs dans le plus pur style du début du XXème siècle.

Ses plafonds hauts, datés de l’époque napoléonienne, sont sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.

Gentilhommière bourbonnaise 15ème et 17ème agrandie début 19ème . C’est la « maison des champs » typique d’ officiers de la généralité de Moulins sise au centre de ses terres et de bâtiments agricoles. Chapelle, Pigeonnier, Grenier à Grain, Granges, Point d’eau pour les animaux. Transmise depuis 1696 par succession familiale

chateau fort du Haut Gévaudan.Donjon daté de 1252 Controle le chemin de St Jacques de Compostelle qui franchit la Margeride au col de St Roch.

Le château d’Anjony, habité par la famille depuis sa construction au XVème siècle, a gardé son allure de château médiéval à travers le temps, résistant à la révolution et aux transformations du XIXème siècle. Cet impressionnant donjon offre de riches intérieurs meublés et décorés de remarquables fresques renaissance du XVIème siècle.

Les premiers seigneurs portant le nom d’Arlempdes possédèrent ce fief jusqu’au XI siècle. Il passa par vente ou donation à la puissante famille des barons de Montlaur, puis par alliance aux Poitiers-Valentinois (Diane de Poitiers avait parmi ses titres celui de Dame d’Arlempdes), puis au la Tour d’Auvergne. Il fut vendu et racheté par plusieurs familles. La dernière baronne d’Arlempdes, Emmanuelle de Laval en fit don en 1933 à l’oeuvre du Prado à Lyon
L’Association de Sauvegarde et d’Animation du Château d’Arlempdes se constitue en 1963 à l’initiative de Louis Bourbon avec les descendants de la famille d’Arlempdes de Goÿs, afin de le sauver de la ruine et le rachète en 1964.
L’ensemble est inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques depuis 1926.

Construit au XIV° et XV° siècle, le château d’Auzers est habité par la même famille depuis plus de 600 ans. Le parc, la salle à manger, le mobilier, l’oratoire sont à découvrir absolument ! Auzers, c’est aussi le nom d’un village avec pour seul ride du temps, le panorama exceptionnel sur les Monts du Cantal.

Du logis féodal subsistent la vaste enceinte carrée, de hautes et grosses tours d’angles, des murs épais percés d’étroites meurtrières. Cour intérieure en terrasse sur douves en eaux. (MH).
Forteresse médiévale, édifiée déjà au XIIIème siècle qui a connu beaucoup d’évolutions au fil des siècles.
À la fin du Moyen-Âge, le fief est devenu la propriété des la Condamine, mais la famille ayant marqué le plus le château des Aix est celle des du Buisson des Aix, possesseurs de divers fiefs dans le Bourbonnais, et dont certains occupèrent des fonctions importantes au XVIIIe siècle auprès du roi.
Au cours du XXème siècle le château connaîtra plusieurs propriétaires différents et sera laissé à l’abandon jusqu’en 1990. Sa restauration a débuté en 1995.
Entourée de douves indiquant ses origines médiévales, la demeure se compose d’un corps de logis rectangulaire flanqué de pavillons à base carrée, l’ensemble aux proportions et aux volumes harmonieux ayant reçu un décor particulièrement soigné. La porte d’entrée donnant sur la terrasse a reçu un encadrement à bossage issu du traité d’architecture de Serlio, tout comme les pilastres doriques soutenant une frise de même ordre, elle-même surmontée d’un fronton triangulaire. La charpente suscite l’étonnement tout comme les sous sols qui valent également le détour.
On remarque encore dans l’ancien jardin les vestiges d’une volière en fer forgé voisine avec l’ancienne chapelle.
Visite guidée des intérieurs restaurés et des extérieurs.

Ensemble pur 18 ème , sur 3 niveaux.Pavillon chinois, chapelle… Bâtiments de ferme.Ensemble très harmonieux. Parc et jardin.

Les bases de Beauvoir sont de la fin du XII siècle à l’origine d’une maison forte. Son architecture actuelle correspond à deux phases de l’histoire du Bourbonnais, la guerre de cent ans et le début de la Renaissance. Aujourd’hui Beauvoir est entouré de ses jardins à la Française crées au XIX et domine la Vallée de la besbre. La vue s’étend du Morvan aux Monts du Bourbonnais. C’est un lieu d’accueil pour la promenade ainsi que pour de multiples évènements festifs

L’une des plus anciennes maisons féodales du Bourbonnais. Le donjon du XIII e siècle, deux tours et une partie des remparts de la même époque sont toujours en place. Une façade et l’escalier d’honneur sont du XVII e siècle et les salons du rez de chaussées du XVIII e.

La vigie du Velay sur le Vivarais. Mille ans d’histoire. Siège d’une des plus puissantes baronnies vellaves jusqu’à la Révolution.Détenu par de très importantes familles seigneuriales d’Ancien régime : Mercoeur, Polignac, Turenne et la Tour d’Auvergne Bouillon. Une organisation défensive singulière et redoutable avec un fossé intérieur creusé dans la brèche volcanique se refermant comme un piège sur l’assaillant qui aurait réussi à y pénétrer. Au centre un donjon pentagonal du 13ème-15ème siècle séparé des bâtiments d’habitation aménagés au 16ème siècle par le fossé.
Aujourd’hui avec Arlempdes et Beaufort à Goudet en amont sur le cours supérieur de la Loire Bouzols fait partie des trois premiers châteaux-rochers du fleuve national.

Le château de Bussière est une ancienne abbaye cistercienne de femmes créée à la fin du 12ème siècle. Les moniales l’occupent jusqu’en 1625 , année où elles la quittent pour aller s’installer à Bourges. Elle devient alors un prieuré. A la Révolution française, elle est
vendue comme Bien National. Elle est habitée en continu depuis 6 générations par la même famille. C’est un exemple original d’abbaye cistercienne agrandie par juxtaposition aux XVIIe, XIXe et XXe siècles pour en faire une plaisante résidence de campagne bourbonnaise.

Authentique gentilhommière bourbonnaise début 17ème sur des bases 15ème restée dans la même famille depuis 1696 . Maison familiale et agricole avec ses dépendances : pigeonnier, bûcher, grange, grenier à grains, potager, écuries, étangs et sa chapelle.

A l’origine maison forte au XIVè siècle, site partiellement détruit par un incendie à la fin du XVIIè siècle, reconstruit en 1701, le célèbre marquis de Lafayette y est né en 1757 et y a passé les 10 premières années de sa vie. Il y retournera ponctuellement avec son épouse et ses enfants. En 1916, le château et ses dépendances seront rachetés par une fondation américaine qui en fera un centre d’accueil pour enfants , orphelins de guerre et petits malades. Une grande aventure humaine symbole de l’amitié franco-américaine initiée par le grand général marquis Lafayette dès 1777.

Lieu emblématique de la Vallée de la Sioule, entre Combrailles et Bourbonnais, le château de Chouvigny surplombe depuis maintenant plus de huit siècles les Gorges de la Sioule. Ce château fort qui fut ensuite la propriété des Lafayette et du Duc de Morny est d’une grande beauté architecturale et naturelle, il séduira les petits et les grands.

Le château de Cornillon est l’une des quatre baronnies historiques du Forez. Ses origines remontent au XIème siècle et il fut occupé successivement par les familles de Lavieu, de Beaudiner, de Crussol, de Laire, de Lévis-Ventadour, Jacquier et de Grimod de Bénéon de Riverie. La configuration extérieure du château est due à Guillaume de Laire et son épouse, Marie de Brionne au milieu du XVème siècle. Les aménagements des boiseries intérieures datent du XVIIème siècle. Il a bénéficié d’une restauration soignée au cours des 20 dernières années.

Le château offre un exemple d’architecture du 19° siècle, à mi-chemin entre Viollet-Le-Duc et Gustave Eiffel. Dans un style néo-médiéval, il présente un décor de la fin du 19° très homogène et complet avec, en particulier, une utilisation de bois d’essences variées dans les pièces de réception qui se visitent ainsi que le parc. Toute l’atmosphère d’une maison du 19° siècle.

Unique dans le Bourbonnais, le château de Douzon date du 18ème siècle. Dessiné par l’architecte Clément il ressemble à un hôtel particulier parisien à fronton triangulaire. Il a été construit.sur les fondations médiévales de l’ancienne place forte dont il reste un témoin : le donjon du 12è.. Du jardin à la française, aujourd’hui disparu, subsistent les charmilles de tilleuls, le bassin et l’alignement de vasques qui agrémentent la perspective de sa façade classique.

La Condemine est un ancien site Templier.
De style roman, attachée aux Sires de Bourbon, elle conserve le plan polygonal d’origine entouré de douves et obtient le label « Édifice emblématique du Bourbonnais » du Conseil Départemental en 2014.
La visite guidée du chantier permet de découvrir l’imposant travail et la magnificence du lieu avec la charpente de la salle d’apparat de 1309 unique par son plan circulaire.

Les origines du château de la Cour remontent au milieu du XVe siècle. L’état actuel est l’œuvre d’Antoine Verne, maire de Moulins en 1595. Classé Monument Historique, ce château en briques polychromes est, avec ses communs bien préservés, l’un des plus emblématiques de la Sologne bourbonnaise.

Ancienne maison forte, occupée par le trésorier de Louis II de Bourbon, pour assurer la défense de Souvigny. Transformée à la Renaissance et complétée aux XVII et XVIII ème siècles, elle comporte un bâtiment central flanqué de deux ailes en retour entourant une cour pavée ouverte par un pont dormant. Elle est cernée de douves aujourd’hui asséchées sur ses quarte faces.

Le château primitif de La Planche construit à la fin du XVème siècle sur le plan d’un carré fortifié, abrite une petite garnison de la Ligue. Il est partiellement détruit au XVIème siècle et se transforme. Au début du XVIIIème siècle, il s’agrandit encore d’une aile à l’est. Son jardin régulier jouxte un parc paysager à l’anglaise, créé au tout début du XIXème siècle. Une « fabrique » originale, unique en Haut-Loire agrémente ce parc.

Surplombant le chemin de Saint Jacques de Compostelle, le château de la Rochelambert renferme de nombreux secrets sur l’histoire de France et de la Haute-Loire.

Construit au XIème siècle, il est incendié en 1562 suite à une attaque.
Il sera ensuite reconstruit par Hélène de Lestrange épouse de François, marquis de la Rochelambert, pour lui donner l’éclat et le romantisme qu’on lui connaît actuellement.

Cet édifice a inspiré George Sand pour y avoir séjournée et qu’elle décrit dans son roman Jean de la Roche.

Le château est ouvert au public tout au long de l’année. Les visites sont guidées. Les pièces accessibles au public sont de véritables témoins du passé.

Situé en face d’un panorama unique sur les Monts du Cantal, le château de La Vigne a été construit par les comptours de Scorailles, au XVe siècle, en forme de petite forteresse. Embelli en 1750 par l’ajout d’un corps de logis et d’une terrasse ornée d’un jardin à la Française, les intérieurs sont décorés de fresques du XVIe (chapelle/studiolo), de boiseries Louis XV (salles de réception et chambre de JJ. Rousseau) et néogothiques (chambre Troubadour). Cette demeure vivante est habitée par les descendants du bâtisseur.

Château fort existant début Xll siècle. Toujours habité, il a échappé aux destructions et mauvaises restaurations. Il est cité en l »an 9z4 par le cartulaire de Brioude .C’était à l’origine la villa gallo-romaine Spinatia dont il reste quelques temoignages . « Encrassé dans la verdure exuberante de son parc, le château offre l’image de la parfaite demeure seigneuriale. Ses multiples tours, echauguettes et tourelles suffisent à satisfaire les imaginations les plus exigeantes.

Superbe monument demeuré intact depuis le seizième siècle dominant la vallée du Goul de ses deux donjons

Le premier seigneur de Montfleury mentionné dans les chartes est François de la Guesle, seigneur de la Chaux-Montgros, « gouverneur des terres de la maison de Boulogne et d’Auvergne pour Messires les Dauphin et Dauphine de France », bailli et gouverneur du comté d’Auvergne, capitaine des châteaux de Mirefleurs et Dieu-Y-Soit, et maître d’hôtel de Catherine de Médicis jusqu’à sa mort en 1561. Ce dernier titre montre très clairement sa proximité avec Catherine de Médicis, devenue comtesse d’Auvergne par sa mère Madeleine de la Tour d’Auvergne. Puis Montfleury passe dans les mains des familles d’Aymard, du Bost de Codignat, Amariton du Bost de Montfleury puis de Vinols passant ainsi de famille en famille d’oncles à neveux, avant sa reprise par les actuels propriétaires.

Montveran construit en 1316 par Pierre de Luyrieu a toujours appartenu à la même famille suite au mariage Luyrieu/d’Angeville et d’Angeville/de La Fléchère.
Henriette d’Angeville et Serge Prokofiev y séjournèrent.
De sa terrasse vous bénéficierez d’une vue imprenable

Forteresse médiévale juchée sur son promontoire basaltique, Murol est une promesse de voyage dans le temps. Vivez le quotidien de la cour de Guillaume de Murol en 1422, le plus illustre seigneur de ces lieux. Grâce aux espaces scénographiques reconstitués et aux personnages en costume, vous vous imaginerez bientôt chevalier ou dame en ces lieux

Le château est une ancienne maison forte datant du XIIIème , occupée alors par des templiers. Il a fait l’objet à la fin du XIXème d’une restauration majeure menée par un architecte élève de Viollet Le Duc dans un style romantique et né gothique très en vogue à l’époque: voûtes, arches, passerelles, grottes, gargouilles (19!), décor de pierre d’animaux et personnages étranges , formes médiévales revisitées…qui font de lui aujourd’hui un des plus beaux châteaux néo-gothiques d’Auvergne. Attenante au château et à l’intérieur de ses remparts, l’ église romane , anciennement celle du village, existe toujours avec ses fresques du XIII et XIX ème siècle.

Dans un site remarquable, a 750mètres d’altitude, sur un promontoire rocheux dominant
la vallée de la Cère et le village de Polminhac s’élève le château de Pesteils.
Fantastique monument de l’architecture militaire, le donjon colossal de quarante mètres
de haut évoque le Moyen-âge dans sa plus rude expression, témoignage glorieux de ce que
devait être cette place forte du Cantal.
Le chemin de ronde offre une vue magnifique sur le Plomb du cantal. Fresques murales du XV° siècle.
Plafonds peints
De très belles tapisseries, des peintures de maître, des meubles d’époque parent cet ensemble
20 personnages de cire illustrent des scènes historiques
Le château et le site sont classés Monument Historique
La visite du château traverse sept siècles d’histoire cantalienne à travers une même famille.

Au XI ème siècle sur les restes d’un oppidum fut construit un premier donjon en bois remplacé ensuite par un donjon en pierre. Un premier château entouré de douves fut terminé vers le XV ème siècle.
Ce château subsiste de nos jours fermant une cour comprenant le deuxième château terminé en 1663 et 3 tours dont un pigeonnier.
Ce dernier château fut restauré de 1920 à 1927 par le célèbre architecte SAPPIN des RAYNAUD qui conserva toutes les cheminées monumentales du XVème mais qui acheta dans d’autres châteaux en ruine ou en démolition, une grande partie des cheminées du premier et deuxième étage.
L’ensemble représente un château fermé avec une cour de 2000 M2 à l’intérieur entouré d’une fortification avec des restes de douves sur un coté.
Enfin, ce château servi dans le livre du Grand MEAULNES, à la description de la fête et depuis quelques années est utilisé aussi pour des tournages de films.

Château typique du XVIIème et de la Sologne bourbonnaise. Demeure de Madeleine Fouquet et de Marie de Maupeou, épouse et mère de Nicolas Fouquet, visitée par leur amie, la marquise de Sévigné. Agrandi au XVIIIème et embelli au XIXème. Conjuguaison chamarée et singulière d’harmonie, de charme et de magie.

Restaurer une vieille demeure c’est lui rendre la vie sans bousculer son histoire, c’est occuper les lieux sans offenser sa mémoire. Après 14 ans de travaux, beaucoup de passion et de talents partagés, le château revit pour la grande joie de tous dans cette région magnifique et méconnue de Xaintrie.

Perché sur son rocher volcanique depuis le XIIème siècle, le Château de Rochebrune est un fabuleux témoin du passé qui a su évoluer au cours du temps grâce à ses différents propriétaires. Véritable forteresse médiévale, ayant eu pour rôle la défense de St Flour, vous pourrez y découvrir l’architecture féodale de l’Auvergne (salles basses, salle des chevaliers, oratoire…) et des jardins en terrasses classiques de cette époque. Oublié, abandonné, c’est grâce à la famille Langloÿs qu’il renaît depuis 50 ans et qu’il offre ses trésors aux visiteurs pour ravir les amoureux de patrimoine, d’histoire, d’art et de nature. Ce cadre hors du temps est le lieu idéal pour des moments simples comme un pique-nique, une rencontre lors d’un marché de producteurs ou d’une visite, tout comme pour les évènements marquants d’une vie. Nous serons heureux de vous accueillir, seul ou en famille, pour partager avec vous ce lieu unique!

Édifié sur un éperon rocheux dominant la Sioule, Rochefort construit entre 1150 et 1250 faisait partie du dispositif militaire du fief des seigneurs de Bourbon. Son architecture spécialement militaire ne comprenait aucun aménagement résidentiel ni somptuaire. Ce n’est qu’au XVIIe qu’un corps de logis fut construit à l’intérieur des fortifications et que les salons furent créés dans le plus pur style Louis XIII. En 1890, sous la conduite de l’architecte Moreau, le château fut restauré et une galerie fermée fut créée. ISMH et site inscrit.

Non loin de Saint Etienne, dans les monts du Forez, se dresse le château de Saint-Bonnet-les-Oules. Il se tient là depuis le XIIe siècle, propriété des comtes de Forez, puis des comtes d’Auvergne, et de la famille d’Angérieu, qui en fait au XIIIe siècle un vrai château fort.
A cause d’intrigues politiques, le château est vendu au début du XVIIe siècle. C’est une famille italienne puissante, descendante des Médicis, les Bartholy, qui l’acquièrent. Le château passe encore entre les mains de nombreuses familles au XVIIIe siècle, avant d’être acheté en 1782 par les Vincent de Soleymieu (une famille de rubaniers), qui restaurent le château dans un style néo-gothique au XIXe siècle. Leurs descendants sont les propriétaires actuels qui vous accueillent avec plaisir lors d’un séjour ou d’une visite. Seul château de la Loire à avoir encore des douves en eau, il abrite la plus grande collection au monde de boutons de vénerie française et possède l’un des plus beaux escaliers du XIXème siècle.

Le château de Saint Gérand le Puy était une place forte en 1200. Il appartenait au frère du duc de Bourbon. Le château fut pillé et démantelé en 1365 durant la guerre de 100 ans. Il fut reconstruit en 1502 par Pierre II d’Urfé, illustre famille forézienne. Des modifications du château et la création de dépendances seront effectuées en 1768. Le Pape Pie VII y séjourna le 21 novembre 1804 alors qu’il se rend à Paris pour sacrer Napoléon. Il appartient à la famille des propriétaires actuels depuis plus de 400 ans.

Le château de Saint Marcel de Félines est situé au cœur du village. Il date du XIe, restauré et embelli fin XVIe, de splendides panneaux peints de fleurs et fruits XVIIe décorent ses murs.
Bonheur d’avoir une vue exceptionnelle sur les Monts du Forez. Dans le clos, trois pavillons XVIIe, un canal, un boulingrin, des allées de buis taillés, un potager et enfin un verger sont autant d’espace différents et merveilleux à vivre.

Puissant château fort construit au XIIIe siècle par le Baron de La Tour, agrandi et embelli au XVe siècle sous l’influence de la Renaissance, propriété des Reines Catherine de Médicis et Marguerite de Valois, puis du Roi Louis XIII. Il fait face à l’église romane du village qu’il domine. Il s’ouvre sur des jardins et sur un paysage remarquable.

Repaire militaire médiéval au 12e siècle, ce château est dans la même famille depuis toujours.
Restauré au 15e, 18e ,19e , il a gardé un mobilier spectaculaire, donc cinq tapisseries classées Monument Historique. C’est aussi un conservatoire des instruments de la vie quotidienne du passé: vaisselles d’apparat, collections de cuivres, de jouets anciens, objets de curiosité.

Place fortifiée du XIIIème siècle, le château de Thol est un témoin des guerres delphino-savoyardes. Ses enceintes forment un carré de 33 mètres de côté avec deux tours, exemple typique de l’architecture militaire médiévale. Thol est ruiné depuis longtemps mais un vaste plan de sauvegarde est prévu de 2022 à 2027.

Le château de Varambon est un élégant château du 19 siècle construit par la famille de Boissieu en 1854 et situé dans un parc arboré de cèdres bicentenaires. La vue sur les montagnes du Jura et la rivière d’Ain est magnifique. Il dispose d’une bibliothèque remarquable et d’une chapelle classée.

Chateau de plaisance du début du 17° à l’architecture de pisé
Cheminées monumentales baroques et une salle contenant des peintures murales uniques en France sur le Grand Carrousel de Louis XIV . Parc paysager 19°

Situé à la frontière de la Savoie, à 5km du parc de Chartreuse, Vaulserre est une ancienne maison forte remaniée au XVIII° siècle. Elle laisse place à un élégant château fait pour séduire. Maison de décors et de couleurs, Vaulserre présente aujourd’hui une des plus belles combinaisons d’architecture, de décors et de paysage du Dauphiné, témoin de l’art de vivre d’une grande famille au XVIII° siècle.

Le château-fort de Vieillevie, dont les origines remontent aux alentours de l’an mil, domine de ses hautes tours le versant auvergnat de la vallée du Lot, dans le périmètre du grand site de France de Conques. Les grandes salles, remaniées à la Renaissance, ont conservé leurs cheminées monumentales du XIIIème siècle, parmi les plus anciennes de France.

Exemple unique d’architecture XVIIIème en Basse Auvergne, cet ensemble majestueux a été totalement ravagé par un incendie en 1958 et est l’objet depuis plus de 25 ans d’un patient programme de restauration.

Le Château des Cologny est l’une des propriétés historiques les plus remarquables du Pays de Gex. Située à Cessy, à seulement 15 kilomètres du centre de Genève, la propriété remonte au XVIe siècle.

L’habitation principale a été reconstruite en 1622. Le premier propriétaire, la famille Mareschal, le transmet par héritage à la famille Pitegny, qui le vend ensuite à la famille Cologny au début du XVIe siècle.

Par la suite, le Château des Cologny est vendu à Jean-François Payronnet, chirurgien et prévôt de Gex, au XVIIIe siècle.

La maison forte, qui a subi d’importantes transformations au cours des siècles, possède encore un puits aux armes de la famille Livron. Le portail qui donne accès à la cour intérieure est couvert d’un toit à double pans et doté d’une double entrée : l’une, toute petite, surmontée d’une belle accolade et l’autre, en anse de panier. Ces entrées, qui datent du début du XVIe siècle, sont assez rares dans le Pays de Gex.

Les Martinanches apportent une douceur qui surprend et séduit. Le château du XIème a été remanié au XVème puis au XVIIIème siècle. Les pièces de réception dégagent une agréable impression d’intimité. Marie et Arnaud vous accueillent dans leur demeure familiale pour une nuit, un séjour ou une réception réussie. Situé au cœur de « La Toscane d’Auvergne » et du « Parc Naturel du Livradois-Forez », vous y trouverez une multitude d’activités et des restaurants de qualité.

Exemple typique d’architecture rurale du XVIIème siècle en Bourbonnais, le château des Vieux Melays a été construit vers 1660 sous forme d’un logis seigneurial flanqué de deux tours carrées, de deux communs perpendiculaires encadrant une cour centrale présentant une chapelle et un pigeonnier à chaque extrémité, le tout fermé par un mur et un portail sculpté d’époque. Particulièrement bien conservé dans son état d’origine car n’ayant pas subi les vicissitudes de la Révolution ou les modernisations du XIX siècle, l’ensemble est classé IMH depuis 1985 pour l’extérieur des bâtiments et la chapelle, et référencé dans de nombreux livres régionaux.

Location du site pour réceptions.
Animations culturelles l’été

Ensemble architectural classique des XIVe et XVIIIe siècles, corps de logis flanqué de deux ailes encadrant une cour d’honneur avec ses élégants décors d’intérieurs et son jardin à la française. Laissez-vous conter l’histoire d’un château maintenu à travers les siècles par la même famille depuis l’origine.

forteresse médiévale restaurée au 16ème siècle et construction d’une chapelle en 1585 adossée sur une tour de défense. L’ensemble du lieu bénéficie d’un site remarquable dominant les bois jusqu’aux Combrailles.

Sur une ancienne motte dont la voûte est conservée datée du 13° siècle, la marque des siècles suivants reste visible: 15° puis 17°, date de la reconstruction gravée sur la porte, puis 19° pour une bonne part de l’intérieur puis réhabilitations du 21° siècle (fenêtres, couvertures, chambres…) On le dit « resté dans son jus » de sorte qu’il a conservé une « âme ».
la petite histoire rejoint la grande et l’évolution des époques.

Bel ensemble rare et typique de l’architecture Bourbonnaise des XVe, XVIe et XVIIe siècles pour ce château entouré de douves en eaux vives. Témoin de l’importance de la Seigneurie du Riau, une remarquable grange aux dîmes sera construite en 1584 en dehors de l’enceinte du château par la puissante famille des Popillon. L’édifice est classé Monument Historique en 1943.

Magnifique lieu d’Histoire inscrit à l’Inventaire des Monuments Historiques de Haute-Loire

Au XIVeme siècle , la maison seigneuriale est fortifiée dans un but défensif pour faire face aux pilleurs qui sévissent dans le Velay durant la guerre de cent ans.
Au XVIIème et au XVIIIème siècle les propriétaires successifs attachés à ce lieu et à la beauté des paysages décident de transformer la demeure. La maison à caractère défensif se métamorphose en une demeure habitable et accueillante dans l’esprit du temps. Agrandissement de l’ensemble, ouverture de fenêtres, création de salons, et chambres spacieuses pour recevoir.
Un terrain de 5 ha est délimité tout autour du château pour créer un parc digne de la demeure.
Le parc du Thiolent, « île verte au milieu des champs », est en harmonie avec son château et la campagne environnante ; il y règne un esprit de rigueur, de simplicité, de beauté et de labeur, sans ostentation. Il illustre la vie familiale et laborieuse à la campagne, au pied des contreforts du Devès.
Aujourd’hui le Thiolent est une demeure vivante, habitée toute l’année par une famille d’agriculteurs qui exploite directement son domaine.

Bâti dans un écrin de montagnes, le château du Touvet fascine par la majesté des lieux et ses exceptionnels jardins créés au 18ème siècle. Mobilier, décors et souvenirs historiques de la Monarchie et l’Empire.
A ne pas manquer : l’escalier d’eau à l’italienne. Livrets jeux pour les enfants.

Le château de Villard est un édifice majeur de la commune de Saint Germain Laprade. Édifié à la fin du Moyen-Âge, remanié durant la renaissance (1545) et à la fin du XIXe siècle, le château développe un ensemble bâti riche et de grande qualité témoignant non seulement de l’évolution des langages architecturaux mais aussi de la mutation des usages au fil des siècles.
Deux corps de bâtiments distincts s’établissent en parallèles : le logis noble à l’Ouest et les anciens communs et corps de ferme à l’Est. L’un et l’autre sont flanqués de tours circulaires et sont organisés autour d’une cour close côté Nord qui s’ouvre au Sud sur des champs et le lit de la Gagne.

Le plus ancien arboretum privé de France. Parc botanique et floral créé à partir de 1804 par la fille de Michel Adanson (Aglaë Adanson); parc de 20 ha, avec ses fabriques, ponts, passerelles, cours d’eau, étang et ou les 3500 espèces et variétés de végétaux
s’entremêlent. il entoure un château typiquement Bourbonnais en briques bichromes. un parc et une demeure entretenus par la même famille depuis 218 ans avec la même passion pour la botanique. il a reçu le Label remarquable de la Société internationale de Dendrologie

Le château de Moidière (XVIIème-XIXème) se distingue principalement par son beau toit typiquement dauphinois, les peintures en trompe l’œil de son grand vestibule et une chambre Empire avec ses décors d’origine.
Dans la même famille depuis onze générations, il est associé, pour la joie des petits et des grands, à un Parc animalier de 30 hectares présentant des animaux d’Europe: loups, lynx, cervidés, etc.
Ouverture: voir sur Internet

La Forteresse de Saint Vidal est l’un des édifices les mieux conservés de la région Auvergne Rhône Alpes. Bijou architectural de la Haute-Loire, le château de Saint Vidal est classé au titre des Monuments Historiques depuis 1958. Témoin de l’Histoire de France, il est une référence de l’architecture militaire du Moyen-Âge et de la Renaissance.

L’hôtel Coëffier fait partie des demeures nobles élevées à Aigueperse à l’époque des Bourbon Montpensier. L’hôtel du XVIème siècle a conservé toute sa structure. La famille Coëffier (Maréchal d’Effiat et son fils le Marquis de Cinq Mars), s’est illustrée au XVIIème siècle. Au XVIIIème siècle, l’hôtel appartenait à la famille du poète Jacques Delille.

Ensemble de jardins historiques : parc à l’anglaise attribuable à Choulot, avec cèdres, fabrique, glacière, grilles d’entrée XVIIIe, chenils. Jardin régulier avec topiaires et bassin en pierre. Potager à la française avec buis, espaliers, fontaine Empire. Pièce d’eau. Verger avec cordons, buis bicentenaires, réservoir, charmille. Trois roseraies.

Le château proprement dit, est entouré de ses douves, et a un corps de logis à deux niveaux, de plan rectangulaire. Il est flanqué de quatre tours rondes. Un pavillon carré et une petite tour circulaire sont également édifiés en bordure de l’eau. La chapelle dont le parement est comme pour le reste des bâtiments constitué de briques polychromes, a reçu une porte à encadrement mouluré, surmontée d’un fronton orné de pots à feu. Le château date de la première moitié du XVIIe siècle et a été remanié au XIXe.
L’édifice est un exemple particulièrement représentatif de l’architecture domaniale du Bourbonnais, tant par la disposition de ses communs que par l’usage de la brique et de la pierre calcaire d’Apremont. De plus il comporte un logis de plan massé, disposition peu courante dans le département de l’Allier

Le château de Durianne daté des XIIIème et XVème siècles (fin Moyen-Age et début Renaissance) est une ancienne garnison de soldats. Il se situe aux portes du Puy en Velay le long des gorges de la Loire. Aujourd’hui le domaine de Durianne accueille des chambres d’hôtes afin de financer les travaux de restauration. Quant à la ferme biologique du château elle est consacrée à la conservation d’espèces animales locales et végétales en voie de disparition. Sorti des mains du célèbre aventurier Joseph de Fonfreyde ami de Gérard de Nerval et Alfred de Musset, le château de Durianne appartient depuis 1836 à la famille Balme du Garay.

L’histoire du château et de la terre de Pionsat couvre 22 siècles d’histoire locale depuis Vercingétorix à Gustave Farin.
Le 1er château défensif a été construit au XIVème siècle pendant la Guerre de 100 ans. D’abord propriété de Guy Aubert vers 1345, la seigneurie de Pionsat est achetée en 1482 par Jacques de Chazeron qui entreprend la construction d’un château dans un style nouveau, le style Renaissance. Ses descendants, Antoine de Chazeron puis Gilbert et Charlotte de Chazeron, inspirés des architectes de la Renaissance italienne, poursuivent les travaux mais le château, pour des raisons financières, reste inachevé et la forteresse médiévale qui le jouxte reste intacte. L’édifice est par la suite transmis à la famille de Chabannes lorsque Charlotte de Chabannes épouse en 1604 Jacques de Chabannes. Les Chabannes occupent alors le château durant près de 2 siècles. En 1793, le château et ses dépendances sont vendus. Plusieurs acquéreurs se succèdent et au cours du XIXème siècle, plusieurs bâtiments sont détruits et remplacés dans le style de l’époque. A l’automne 1879, le château devient la propriété de Gustave Farin qui le lègue en 1911 à la commune de Pionsat. Depuis 1920, le château Renaissance est classé Monument historique et le château médiéval (propriété privée) est inscrit à l’inventaire des Monuments historiques.

L’abbaye bénédictine Saint Symphorien du Moutier, Fille de Cluny dès 1011, sous la protection du comte de Poitiers, frère de Saint Louis, survécut jusqu’en 1792.Le logis fût remanié pour le dernier abbé commandataire M. de Saint Didier, aumônier du comte d’Artois, frère de Louis XVI. De cette époque date le décor raffiné de gypseries, de boiserie des appartements meublés que l’on visite en complément d’anciennes salle des gardes et cuisine d’époque médiévale. Jardin fleuri orné de topiaires le long de la rivière.

Constituant les dépendances du château, la Régie d’Avrilly est un vaste batiment édifié au début du 20ème siècle par la famille, encore propriétaire. Classée Monument Historique, la Régie d’Avrilly est un des derniers témoins des communs de château de cette taille dont la construction a été arrêtée par la guerre de 14. Habitée par le régisseur du domaine, elle abrite de belles écuries, une buanderie, un chenil. La cour intérieure voyait s’affairer naguère lingères, blanchisseuses, chevaux, jardiniers, maître chiens, palefreniers..

Le château fort de Naves, implanté en contrebas du bourg, assurait le contrôle du col de Naves, facilitant la communication entre la vallée de la Sioule et de la Bouble, voie romaine reliant Clermont à Bourges. Il est le témoin de la complexité de la formation du Bourbonnais. En effet, après avoir tentés de prendre cette forteresse au seigneur Hugues de Naves, les Bourbons renoncent. Naves ne sera jamais Bourbonnais puisque le seigneur donne son fief aux archevêques de Bourges. Naves restera une enclave berrichonne, residence des archevêques, jusqu’à la révolution. Jean Coeur, fils du grand argentier, est à l’initiative de grands travaux au XVème .
Le château présente encore de belles élévations dont une tour XIe et une tour philippienne avec 2 archères en rame et une archère en étrier. Il est visible de l’autoroute A71.
Un projet de consolidation et de préservation des vestiges est en cours en partenariat avec la DRAC, le département de l’Allier et la région Auvergne Rhône Alpes.
Pour le moment, seule la haute cour est accessible à la visite.