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Nichée au cœur de la campagne mayennaise (entre Laval et Rennes), l’ancienne abbaye de Clairmont vous étonnera par la taille, la rusticité et l’harmonie de ses bâtiments. Construite au XIIe siècle sur ordre des Seigneurs de Laval, elle conserve l’empreinte de la vie monastique qui a duré jusqu’à la Révolution.

Château XVIIe de la famille Colbert transformé en hôtel restaurant et ayant un potager grand prix SNHF en 2016 qui alimente le restaurant du château. Escape game sur place pour enfants et adultes.

Nos visiteurs découvrent dans une vidéo les étapes des restaurations du château, des jardins et du pigeonnier qu’ils ont loisir d’admirer par la suite. Un jardin de roses et de buis à la française et un potager complètent la visite.

Château hors du temps, apaisant, chargé d’histoire et de légendes, magnifié dans un écrin de verdure et de forêt  riche en biodiversité.

Le château de Briord fut bâti en 1770 par Joseph Charette de Briord, à l’emplacement d’une ancienne seigneurie médiévale de grande importance. Le charme de ses lignes symétriques et épurées, ses ornementations sobres constituées d’élégants mascarons lui valent d’être reconnu comme l’une des plus jolies folies Nantaises.

Surnommé le « Géant du Val de Brissac », Brissac impose la monumentalité de ses façades dès le premier abord ! Il est la demeure ancestrale des ducs de Brissac depuis le XVe siècle. La richesse des collections d’œuvres d’art qu’il abrite et l’originalité de son décor intérieur en font un monument Angevin majeur.

A travers les âges, Coislin a toujours su recevoir ses hôtes ! Aujourd’hui Coislin garde son authenticité avec une touche de modernité pour avoir tout le confort pour se détendre ou travailler dans les meilleurs conditions.

Il règne au château de Craon, une douceur de vivre typiquement angevine, surnommé le Petit Versailles de la Mayenne, c’est un véritable palais à la campagne paré d’un écrin de verdure de 47 hectares.

Aux portes de Nantes et de son Vignoble, un château Renaissance protégé par les marais de Goulaine. Résidence d’une même famille depuis 1000 ans, les salons témoignent de la richesse architecturale et décorative du XVIIe siècle. Des cuisines du XVe siècle à la chambre du roi Louis XIV, la visite vous entraîne dans les tourbillons de l’histoire de France…

Villa néo-palladienne en pierres blanches de tuffeau, construite en 1820 par Etienne Blon sur la commande d’Aristide de Grandville, député-maire de Port-Saint-Père et grand ami du célèbre avocat Berryer. Le Parc à l’anglaise dessiné par Jean-Dominique Noisette accueille le visiteur pour un parcours fléché.

Une flânerie au fil des siècles dans le parc de l’ancienne résidence d’été des évêques de Maillezais et la Rochelle, qui vous conduira de la plateforme du château, en surplomb avec ses tours médiévales, jusqu’à la grange en passant par les platanes dits « de Rabelais » et les longues terrasses qui bordent la Longèves

Le Château de la Barre est un exemple particulièrement riche d’une continuité historique sur 6 siècles, sur 3 plans : l’histoire familiale, (propriété des Vanssay depuis 1404) le bâti (on retrouve toutes les époques et d’importantes fortifications) et les archives (toutes conservées au château)

Au château de la Chauvelière à Joué-sur-Erdre, édifice du XVIIIème siècle surplombant la vallée de l’Erdre, vous profiterez en toute sérénité d’hébergements confortables et authentiques : gîtes et chambres d’hôtes. Il convient à vos escales et séjours de loisirs ou professionnels.

Dernier Logis vendéen, le Logis de la Chevallerie est l’exemple emblématique de la transition des styles et des techniques entre le XVIIème et le XVIIIème siècles en Bas-Poitou. En ruine en 2004, il est depuis l’objet d’un lourd programme de restauration toujours en cours.

Le Château de la Citardière est une Citadelle dans un océan de verdure entourée d’eau. Demeure du baron de Chantoizeau, la Citardière est une place forte des guerres de religion dont sa grande salle du corps de garde est mentionnée dans différents récits de batailles du XVIè. Vous séjournez dans le Châtelet, une suite de 65m2 avec sa vue traversante, sur les douves et sur la pièce d’eau. Vous profitez ici d’une nature riche et verdoyante dans un parc de 8 hectares entouré d’une forêt domaniale de 5500 hectares et son lac de 130 hectares. A quelques minutes de la cité historique de Vouvant classé plus beaux village de France vous profitez ici d’une nature riche et abondante.

Propriété d’une famille de négociants, bâti au XVIIème siècle, embelli en 1788 dans l’esprit des folies nantaises, le château de La Droitière sera vendu en 1867 à Victor et Mathilde Fleury. Mathilde est la soeur du célèbre écrivain Jules Verne qui participera au dessin du parc actuel. De cette époque datent les deux pavillons latéraux et surtout l’agrandissement du parc et l’implantation de nombreuses essences rares. Labellisé « Ensemble Arboré Remarquable » en 2022, le parc alliant classicisme à la Française et pittoresque Anglo-Chinois permet, sur ses 11ha clos de murs, d’appréhender l’évolution et la philosophie de « l’art des jardins » au cours des siècles.

Surplombant la rivière de l’Oudon, ce château bâti sur les ruines d’un ancien château fort s’inscrit dans un paysage champêtre et arboré où le pigeonnier, le moulin, l’orangerie, le potager et la glacière témoignent de l’organisation de la vie sur un ancien site castral tel que celui de la Faucille.

Entrez dans 900 ans d’histoire. Un château vivant, des ruines qui rappellent le passé, un parc aux arbres bicentenaires, des jardins à la française, potagers et étang.

Ceinte de douves en eaux et de jardins, la Grande Courbe présente au visiteur l’évolution d’une maison seigneuriale fortifiée du Moyen âge à la Renaissance, que l’importante restauration entreprise depuis un demi-siècle s’est attachée à mettre en valeur.

Parc agricole et paysager créé par Jacques Chevalier en 1878. Sur une superficie d’une cinquantaine d’hectares disposés autour du château de la Jaillière, il se compose d’une partie formelle (bassin ornemental, allée de topiaires, perspectives linéaires) et d’une partie à l’anglaise incluant pièces d’eau, collection de grands conifères et éléments d’architecture vernaculaire.

Situé au nord de l’Anjou, et édifié en 1632 à la demande du grand prévôt d’Anjou, il n’a cessé d’être agrandi et embelli par ses propriétaires successifs, ce qui en fait un reflet de l’art de vivre à la française. Le château est aujourd’hui implanté dans un cadre paysager somptueux entièrement dessiné par le célèbre jardinier Édouard André. Il surplombe un hippodrome attenant à la propriété et toujours en activité. La notoriété de ce monument s’est bâtie sur sa riche histoire équestre dont les anciennes écuries témoignent de son prestige, ainsi que sur le Grand Salon de Marbre, tout droit inspiré de Versailles, devenu un haut lieu de réception à la fin du XVIIIe siècle. Ce bijou d’architecture et son mobilier sont parfaitement conservés et il s’y dégage encore toute l’aura du siècle des lumières. Les amoureux d’architecture, de jardins ou encore de chevaux apprécient ce château privé lumineux, où les intérieurs et les extérieurs sont en dialogue permanent, le tout, dans une atmosphère hors du temps.

Fondé au XIIe, reconstruit au XVe par Pierre de Rohan, ministre de Louis XII. Demeure de prestige située sur les Marches de Bretagne, au bord d’un étang. Des hôtes importants y ont séjourné : Catherine de Médicis, Anne de Bretagne… Le château n’a pas été modifié, seuls des travaux de conservation ont été entrepris et depuis 1635 La Motte Glain est dans la même famille.

Le Château de la Noë Bel-Air est classé aux Monuments Historiques. Il est situé sur la commune de Vallet à 25 minutes de Nantes au milieu d’un parc paysager de 11 hectares. Il domine les vignes avoisinantes offrant une vue magnifique sur le sud Loire. Le château actuel fut bâti entre 1836 et 1839, après que l’ancien château ait été détruit pendant les guerres de Vendée. Il a été reconstruit entre 1836 et 1839 par l’architecte Louis-Joseph Chaigneau pour le comte Armand de Malestroit de Bruc de Montplaisir. D’inspiration palladienne, il reprend les codes architecturaux d’Andrea Palladio, architecte de la Renaissance, qui sont particulièrement en vogue à travers l’Europe au XIXe siècle avec son bâtiment rectangulaire et sa loggia à colonnes, haute de deux étages. La construction de l’orangerie et des communs datent de 1830-1836.

À 30 minutes de Nantes, il vous ouvre ses portes dans un environnement calme et harmonieux. Avec son parc arboré et ses prairies, bordées par l’Erdre et le Canal de Nantes à Brest, cet édifice du XVème siècle agrandi au XIXème vient d’être entièrement rénové et redécoré pour accueillir vos réceptions et vos séjours privés ou professionnels.

Elégante et seule Folie Nantaise sur les bords de l’Erdre, construite aux portes de Nantes à la fin du XVIIIème siècle à l’emplacement même d’une ancienne tuilerie romaine. Depuis plus de 35 années, écuries et dépendances ont été entièrement restaurées pour y développer une activité d’accueil et de réceptions, tant privées que professionnelles. Vous les découvrirez dans ce cadre naturel des bords de l’Erdre classés au titre de grand site national environnemental.

Construit à la veille de la révolution entre 1785 et 1788, le château de la Roche- Noyant est un très bel exemple de l’architecture des Lumières . Le constructeur (Louis de Dieusie) ayant été guillotiné, il est pendant presque 200 ans la résidence des barons de Candé avant d’être repris en 2001 par ses propriétaires actuels.

Aux confins de la Normandie, du Maine et de la Bretagne, forteresse médiévale admirablement conservée, avec 8  jours reliées par un rempart, une barbacane monumentale et des pont-levis toujours en fonctionnement : exemple exceptionnel d’architecture militaire du XVe siècle ayant gardé son homogénéité et son intégrité.

Au sein du Château de Linières découvrez Epopea centre d’exposition et d’exploration immersif autour des Mythes et légendes. Cette année accompagnez Persée dans ses aventures !

Construit au XIIIème siècle sur les Marches de Bretagne par Pierre de Dreux, le château de Machecoul fut notamment la demeure de Gilles de Rais, alias Barbe bleue, compagnon de Jeanne d’Arc. Au XVIème siècle, Albert de Gondi, duc de Retz, proche de Catherine de Médicis, transforme le château en forteresse bastionnée. Après la révolution, il est vendu à un carrier. Quatre campagnes de fouilles archéologiques et la découverte d’une hache viking ont confirmé le rôle du château dans l’Histoire et son rôle stratégique dans le commerce du sel.

Le château de Magnanne a été édifié sur commande spéciale du Roi Louis XIV, sur sa cassette personnelle, pour récompenser la famille Racapé de ses bons et loyaux services. Les célèbres Mansart et Lenôtre ont mis leurs talents à disposition pour réaliser ce bel édifice. Sa façade d’un grand classicisme se dresse au levant. Coté couchant l’orangerie et le pavillon de chasse encadrent la façade qui s’ouvre sur les jardins à la Française. Visite libre des extérieurs et des jardins.

Édifié par l’architecte Vincent Barré entre 1772 et 1776, le château est un exemple typique de l’architecture du XVIIIe. L’ Anjou compte, à cette époque, peu de grandes réalisations architecturales, mais le château de Montgeoffroy suffit, à lui seul, à combler ce manque. Édifice exceptionnel par l‘ampleur et la cohérence du projet.

Avec ses salles d’armes du XVe siècle, ses salons classés du XVIIIe et son parc donnant sur une vue panoramique exceptionnelle à plus de 60 kms sur le Perche, le site offre de nombreuses possibilités pour profiter de ses charmes (visites guidées, salon de thé, chambres d’hôtes, mariages et séminaires).

Forteresse de campagne datant du 13ème siècle qui a appartenu aux plus grandes familles de l’Ouest, l’histoire de Mortiercrolles est avant tout liée à celle de Pierre de Rohan, Maréchal de Gié, qui y naquit en 1453. Serviteur de trois rois, ce fut l’un des personnages les plus importants du Royaume de France pendant près de 40 ans. Après les guerres d’Italie où il accompagna Charles VIII puis Louis XII, Pierre de Rohan transforma son château de naissance dans le style flamboyant qu’il y avait découvert et qui était alors inconnu en France.

Sur 47 hectares, le parc propose de multiples points de vue et un réseau de cinq étangs. Dessiné en 1842 par André Leroy, et réaménagé à la fin de XIX siècle par Charles et Mathilde de Tinguy, avec le concours des frères Bühler.

Édifié à l’époque de la Renaissance dans la Vallée du Loir, de la Touraine et du Maine, le Château de Poncé est un très bel édifice qui se déploie dans un exceptionnel écrin de verdure. Construit par la famille de Chambray dans la première moitié du XVIe siècle, le château classé Monument Historique offre un bel exemple de l’influence italienne sur la Renaissance française.

Né d’un simple donjon édifié sur un éperon rocheux au milieu du Xe siècle, le château de Pornic, tout en élégantes tourelles et donjons racés, n’a plus rien à voir avec l’édifice rustique d’origine. Dominant l’entrée du port, il est autant un édifice remarquable inscrit à l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques, qu’un amer pour les marins et l’emblème de la ville.

Le château de Serrant est une demeure privée et habitée qui conserve une des plus belles collections de mobilier et d’objets d’art dans le Val de Loire ; la bibliothèque constitue à elle seule un trésor avec ses 12 000 ouvrages soigneusement alignés sur les étagères.

Château féodal du XVème siècle avec une enceinte polygonale de 10 tours et un magnifique donjon-porche. Témoin de l’architecture militaire du Moyen-Âge avec ses archères canonnières typiques, son chemin de ronde couvert sur mâchicoulis qui offre une vue exceptionnelle sur le bocage vendéen.

Demeure familiale de collectionneur, avec des éléments uniques de boiseries provenant de Chambord.

Édifié aux XVème et XVIIème siècle, le Château de Thouaré est encore cerné de ses douves toujours en eau. Il fut agrémenté d’un remarquable pigeonnier (classé ISMH). Ses ouvertures furent agrandies au XIXème pour mieux baigner de lumière sa belle enfilade de salons. Les chambres à l’étage vous donnent la possibilité de passer un séjour dans cette atmosphère si particulière et attachante de « maison de famille ».

A la frontière de la Bretagne et de l’Anjou, à la croisée de l’Histoire et des légendes, un château de la Loire ouvert au public pour des visites historiques, chasses au trésor, spectacles, festivals, réceptions privées et professionnelles.

Une résidence seigneuriale et ses jardins Renaissance aux mille facettes : Promenez-vous autour d’un château, son donjon et ses douves, flânez dans le jardin bouquetier aux broderies de buis, le long des canaux et sur les rives de l’étang, découvrez notre île labyrinthe. Enfants : Parcours ludiques.

Le fief Les Montys appartenait, en 1414, à Jean de Saint-Aignan. De cette ancienne maison seigneuriale, il ne subsiste qu’une tour isolée. Après la Révolution, la propriété fut acquise, vers 1810, par l’architecte nantais François-Léonard SEHEULT qui y construisit en 1813 le château actuel de style pur directoire. Très réputé dans la région, François-Léonard SEHEULT construisit également à Nantes l’immeuble aux cariatides, rue de l’Héronnière qui mérite un détour. Les Montys bénéficient d’un environnement très protégé entres les vignes et un parc planté d’essences d’arbres variées et pour nombreux d’entre eux plus que centenaires. La Demeure Les Montys est inscrite à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques depuis 1977, et ouvre chaque année ses portes aux visiteurs lors des journées du Patrimoine au mois de septembre.

Le Château du Bellay est dans notre famille depuis plus de 300 ans, sa situation géographique, son environnement et les différentes périodes de son histoire, de la Renaissance au début du XIXième siècle font de cette propriété familiale un lieu de visite exceptionnelle de ses jardins.

Ce château du 17ème siècle, édifié en 1655 par Olivier Chevalier est situé près de Legé, cité active et commerçante campée sur un mamelon qui domine les environs. Sa situation lui a donc valu de jouer un rôle militaire important pendant la Révolution, puisque Charrette y avait installé son centre de commandement. Le château est un Monument Historique, ses toitures et façades sont classées ainsi que l’escalier qui se trouve à l’intérieur, ainsi que le site. La chapelle est de la fin du 18ème siècle, plus récente que le château. Architecture typique des bords de l’Erdre inscrite aux monuments historiques.

Le Château du Coing tire son nom du fait qu’il est au « coin » de la Sèvre Nantaise et de la Maine. En plein cœur de l’appellation Muscadet Sèvre et Maine, dans un cadre naturel et unique, les deux vigneronnes du domaine, Véronique et Aurore , s’attachent à travailler les Muscadets de manière noble et épurée. Nos vins s’apprécient pour leur minéralité et leur fraîcheur mais aussi pour leur potentiels de garde d’une vingtaine d’années. Comme nous aimons le dire : « Le terroir apporte le style au vin, le Cépage apporte la silhouette, L’Homme apporte la philosophie ». Nous représentons le charme des châteaux viticoles de la région Muscadet. En effet, nous souhaitons valoriser à travers nos vins et activités, la culture viticole et gastronomique , mais également les différentes architectures typiques de notre région. Ainsi, le corps de logis est d’inspiration Directoire mais les dépendances sont italiennes.

Forteresse militaire du 15e siècle, embellie au 16e siècle, agrémentée de jardins à la française et d’un parc depuis 30 ans.

Au Lude, le temps ne s’est pas arrêté au Moyen Age. 5 siècles ont façonné le château serti entre ses tours crénelées, pour lui donner l’allure d’un palais à l’image de la puissance de ses occupants et de la grandeur de la France. Depuis les salons jusqu’aux pièces de service, 5 étages à visiter racontent la vie de château d’autrefois.

Chef-d’œuvre architectural où s’entremêlent Moyen Âge et Renaissance, le château du Plessis-Bourré n’a subi que peu de modifications depuis sa construction, il s’érige telle une forteresse surplombant ses douves en eau et s’insérant parfaitement dans son environnement naturel.

Le Domaine du Pordor fut le siège d’une puissante Seigneurie dès le début du XIIIème siècle. Le bâtiment principal classé aux Monuments Historiques a été agrandi au fil des siècles. Il livre les secrets de 700 ans d’histoire. Au rez-de-chaussée, la pièce la plus importante était la salle basse, qui a été restaurée à sa taille originelle et qui sert de salle de banquet. Au cœur d’un domaine de 30 hectares, le Château est arboré d’arbres centenaires en bordure d’un étang offrant un cadre de verdure grandiose pour toutes réceptions.

Le château du Puy , construit au XVIIème siècle, d’une sobre élégance, se niche au milieu d’un parc aux chênes centenaires. Entre ses deux vastes étangs, vous découvrirez ce parc, sa charmille et son labyrinthe, créés au XVIIIème siècle, inscrits aux monuments historiques , et la beauté d’une nature très préservée.

Forteresse médiévale classée Monument Historique et son Jardin remarquable composé de collections de roses, pivoines et arbres fruitiers botaniques. Vue panoramique exceptionnelle sur le Parc Maine Normandie et le pays du Saosnois.

Jardins du XVIIIe siècle surplombant la Mayenne sur six niveaux dont un labyrinthe d’un hectare avec une vue exceptionnelle.

2 résidences des abbés mitrés de la Coûture, l’une construite en 1300, l’autre en 1500. Présence de 2 des 4 dernières grandes salles médiévales à triple nef existant en France. Du gothique rayonnant à la fin du gothique flamboyant, réhaussé par la «3D».

Construit pour le compte de l’officier de la duchesse d’Orléans Daniel Majou en 1771, le logis des Grois est l’un des rares témoignages de l’architecture vendéenne du XVIIIe siècle. Les Grois appartiennent à la même famille depuis 1642.

Le manoir, inscrit à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques en 1974 pour ses façades et sa toiture, fut construit aux 14e siècle et 15e siècle. Le manoir est un point de défense historique du château de Durtal. La porte supposée d’enceinte, d’un bâtiment annexe, est datée de 1498-1502. Ce bâtiment du XVe siècle, ainsi qu’un autre datant du XVIIIe, ont également été inscrits ISMH en 2020.

Inscrits dans une trame historique, 4 jardins clos et secrets, ont été créés et dessinés avec le parti pris d’une création contemporaine et éclectique, ayant pour fil conducteur l’originalité, le raffinement, l’esthétisme et le souci du détail.

Fourneux, Commune de Dampierre, est une ancienne seigneurie qui appartenait au XVIème siècle à la famille de Grenouillon. Geoffroi de Grenouillon en 1514 en fut le premier propriétaire connu. En 1643 Jean-Armand de Grenouillon en devint propriétaire. En 1674 ou 1675, elle fut judiciairement saisie à Jean-Baptiste de Grenouillon, époux de Marguerite de Caroy et adjugée à César de Lux, prieur de Cunaud. Cette seigneurie dont relevait au XVIIIème la suzeraineté de la paroisse, appartenait en 1705 à Antoine de Brie. Ce dernier fut inhumé dans la chapelle le 12 septembre 1733 où l’on peut toujours voir sa tombe au sol. La propriété est ensuite restée dans les mains de sa veuve Louise Jameron et leur fille y épousa le 10 décembre 1742 . La famille de Brie-Serrant possédait encore le domaine en 1790. Ils étaient seigneurs de la paroisse. À partir de cette date, les évènements restent encore inconnus. 

Manoir et chapelle du XVIe siècle. Chapelle avec remarquable voûte lambrissée peinte de 36 scènes de l’ancien et nouveau testament. Peintures murales et très belle pietà en pierre également du XVIe siècle.

Moulin à blé attesté en 1408, transformé en moulin à papier au XVIIIe, abandonné après la seconde guerre mondiale, aujourd’hui restauré et de nouveau une roue à palettes qui tourne grâce à la rivière Erve.

Au débouché d’une majestueuse allée de tilleuls et à la lisière d’un grand parc arboré, le prieuré de Breuil-Bellay, Monument Historique, constitue l’ensemble architectural le plus complet et le mieux préservé parmi ceux que nous a légués l’ordre monastique de Grandmont en Anjou. Le prieuré a conservé, outre sa chapelle et sa salle capitulaire ouvertes à la visite, son cellier et des vestiges de son réfectoire et de son dortoir, tous construits au début du XIIIe siècle. Le porche de la chapelle ou « porticum » abrite une exposition permanente consacrée à l’ordre de Grandmont, à l’architecture du prieuré et à la romancière Alice Cherbonnel alias « Jean de La Brète » qui naquit et vécut à Breuil-Bellay et y rédigea l’essentiel d’une œuvre immense injustement tombée dans l’oubli. Le chœur abrite un imposant retable de pierre du XVIIe siècle, œuvre du sculpteur manceau Pierre Biardeau. Le « passage du cimetière » conduit à la salle capitulaire elle aussi du XIIIème siècle et qui a conservé son extraordinaire voûte « en parapluie ».

Le seul prieuré roman en Pays de la Loire ayant encore ses bâtiments conventuels, dont une partie du cloître